JaeHo [Shonen ai/ Public averti]

Hello tout le monde, c'est encore moi! Pas d'inquiétudes, je continue aussi mon autre fic. Mais là, je vais vous présenter quelque chose que je suis très habituée à écrire, plus que les fics...

Les minifics! Donc sur Word ça fait 2 pages, voire 3 grand maximum et le but c'est de me concentrer sur une scène, un élément et de le développer. Donc pas beaucoup de dialogues mais beaucoup de pensées, une atmosphère, ici surtout une dénonciation. Et, évidemment, comme c'est court, il se peut que j'en écrive plusieurs (si celle là a du succès notamment) mais elles n'auraient aucun rapport les unes avec les autres.

Juste un point commun: le JaeHo, parce que des fois je me demande s'ils ne sont pas VRAIMENT ensemble ces deux là.

Allez, assez parlé, je vous laisse lire.
Et les commentaires sont toujours très appréciés!



Yunho se laissa tomber sur le canapé sans ressentir le moindre bien-être, contrairement aux autre jours. Il n’y eut pas ce cocon de douceur et de chaleur qui serra ses bras autour de lui, ni cet espèce de flottement comme entre les ailes d’un ange ou dans le plus pur des nuages. Il ne fit que rebondir la surface lisse avant de s’y enfoncer. Il eut mal au dos mais quelle importance ? La douleur ce n’était rien. Il était un homme, il était un danseur. Pour cela, il ne devait pas avoir mal, ressentir ce picotement qui parcourt tout le corps pour s’arrêter à un seul endroit. Il devait juste se contenter d’une petite grimace et oublier. Parce que c’était comme ça.

JaeJoong était assis à côté de lui. Il tourna brièvement la tête, le temps d’un sourire, d’un battement de cils et il reporta son attention sur la télé. Yunho fit la même chose. Les images dansaient devant ses yeux, une chorégraphie depuis longtemps orchestrée et enregistrée, toujours répétée pour montrer au monde les pas qu’ils fallaient suivre, les chutes qu’il fallait éviter de faire. Ces hommes et femmes parfaits que l’écran leur montrait, ils n’étaient qu’illusions, mensonges d’un système que ses propres créateurs n’avaient jamais respecté. Mais ils représentaient pourtant ce que les autres étaient censés faire, être. Yunho se dit que cela le dégoûtait et, perdu dans ses pensées aussi sombre que la pluie qui tombait dehors, il ne sentit pas de suite la caresse de l’ange.

Sa tête sur son épaule, c’était quelque chose de normal. Pour lui. Pour eux. Qu’est ce que c’était après tout ? Une marque d’affection, un peu de tendresse, un besoin de réconfort. Une preuve d’amitié. Pour montrer à l’autre qu’on tient à lui, qu’il n’est pas simplement un maillon de la chaîne que forme leur groupe, qu’il est aussi un humain à part entière et que, sans lui, il manquerait quelque chose.



Il le savait bien, lui, que ce n’était pas que ça. Il percevait l’invitation cachée derrière le geste, faible, hésitante mais certainement pas timide. Cette demande qu’il n’avait pas le droit de formuler, cette volonté que le système, que la normalité lui interdisait d’avoir, cette envie qui était considérée par les autres comme dégoûtante. Cette chose pourtant plus douce encore qu’une plume que tous leur interdisait. Yunho savait que Jae en avait autant envie que lui, si ce n’est plus parfois. Il voyait ses regards brûlants, il sentait sa main qui frôlait son corps pour profiter, ne serait-ce qu’une seconde, la saveur de sa peau, ses lèvres qui s’approchaient de son oreille quand il lui faisait croire à un secret, son souffle chaud comme le soleil qui se posait telle la brise contre sa nuque.

Alors quoi ?

Ils étaient dans un monde, dans une mentalité, dans une éducation qui leur interdisait cela, qui leur montrait un tout autre modèle. Partout, les hommes et les femmes étaient montrés comme les deux moitiés qu’il fallait assembler, comme deux fragments d’une pierre précieuse qu’il faut retrouver et assembler. Parce que, dans ce puzzle, ils étaient les seules pièces que l’on croyait pouvoir assembler. Ils étaient l’image de la couverture qu’il fallait reproduire à tout prix. A quel prix ?

C’était si mal d’aimer un autre homme ? De l’aimer tout autant qu’un homme normal aime une femme ? C’était si horrible que cela ? L’amour n’est-il pas aveugle ? Il entendait cette phrase, le refrain d’une chanson passée en boucle partout. Et tout le monde l’entendait aussi, la chantait mais personne ne la comprenait. Parce que si la déesse de l’amour avait réellement les yeux bandés d’un fin voile blanc alors elle ne pouvait pas juger ni sur l’âge ni sur le sexe des amoureux. Après tout, Cupidon ne frappait-il pas au hasard ?

Yunho passa son bras autour des épaules de Jae, le maintenant contre lui. Son corps contre le sien était chaud et ferme. Pourquoi n’avait-il droit qu’à ce genre de contacts devenus totalement insuffisants ? Il voulait juste l’attraper, le tirer encore plus contre lui et dévorer ses lèvres d’un baiser enflammé par la passion. Et quel était le seul obstacle à cela ? Une règle, une phrase formulée par des hommes puissants qui ne le respectaient même pas mais qui changeait l’avis des autres. Le regard des autres. Et lui ? Il devait résister du mieux qu’il le pouvait à l’envie de faire l’amour à celui qu’il aimait.

Il savait que celui qu’il appelait « meilleur ami » pensait la même chose que lui.



Un faible grognement le sortit de ses pensées. Yunho pencha la tête sur le côté. « Fichu genoux. » Marmonna Jae, ce qui le fit sourire. Il détestait par dessus tout se plaindre alors il devait vraiment avoir mal.
« Tu veux un massage ? » Proposa t-il. Son ami accepta d’un hochement de la tête.

Le froissement du tissu du canapé suivit les mouvements de Jae qui s’allongea pour poser sa jambe sur les cuisses de Yunho. Etendu de tout son long, il pencha la tête en arrière et ferma les yeux. Yunho posa ses mains sur sa peau si blanche et douce, une peau brûlante, et les fit courir le long de son genoux, un peu en dessous, un peu au dessus. Il forma des petits cercles sur le velours de sa jambe pour apaiser sa douleur, pour profiter de cette caresse lui aussi.

Qu’est ce qu’on attend, qu’est ce que j’attends pour arrêter de mentir ?

Quoi ? Il en avait assez de ce stupide système, de ces interdictions. Il voulait goûter au fruit défendu, juste une fois. Pouvoir aimer lui aussi, pouvoir faire ce que les autres faisaient, rester lui-même tout en étant différent. Depuis qu’il y réfléchissait, il avait toujours détesté cette éducation, ce lavage de cerveau qu’on leur faisait à tous. Il avait toujours voulu suivre sa propre voie, écouter son propre égoïsme plutôt que celui des dirigeants… des autres. Pour lui, c’était normal d’aimer Jae, c’était normal d’avoir envie de lui, c’était normal de le toucher. Pour lui, ils étaient tout autant normaux, si ce n’est plus, que tous ces abrutis qui se voilaient derrière un masque.

Sans s’en rendre vraiment compte, il laissa sa main glisser plus haut, encore plus haut. Puis elle se faufila sous le tissu et descendit puis remonta puis redescendit. Et Jae sursauta. « Yunho ? » Un gémissement passa la barrière de ses lèvres rosées, si tentatrices.
« J’en ai marre qu’on mente Jae. » Lui susurra t-il

Et ce dernier ne commit pas l’irréparable en le repoussant, il commis le péché d’aimer en se laissant faire, les yeux fermés, ses dents emprisonnant sa lèvre inférieure pour retenir ses gémissements et son corps se cambrant involontairement sous le plaisir qu’il ressentait. Une douce vague qui montait et redescendait sans arrêt. Pourquoi voudrait-il tout arrêter ? Il n’avait attendu que cela, il était juste trop bien éduqué par le système pour faire le premier pas. Mais il ne l’était pas suffisamment pour tout arrêter maintenant. Parce que lui aussi en avait assez de mentir. Lui aussi détestait ces mots trompeurs qui se glissaient dans tous les esprits.

whaaaaaaaaaaaaaaaaaaa !!!
j'aime j'aime j'aime !!!!!
j'ai trop aimé tout ce que tu vient de raconter làààà !!!
et dire que c'est si vrai en plus !!!
et la façon dont tu raconte ^^
j'aimeuuuh !!!!
et vive la shonen-ai !!!!!!!!!
franchement bravo, ci sublîme, je ne sais pas quoi dire de plus ^^ merci pour ce petit récit très beau ^^
(c'était court mais très bien decrit !!!)

EDIT : prem's !!! oh yeaaah~ Anna j'aime trop ton histoire *part l'imprimé*

Oh Purée.

Anna, t'as une nouvelle fan *_*

J'adore...

Sincèrement, j'adore. Cette frustration qu'ils accumulent depuis le début, et cette peur qu'ils ont du regard des autres... Quelque chose que je n'avais pas encore trop trouvé dans les autres textes, est ici complètement dévoilé... Ils ont peur d'eux aussi. Ils se mentent depuis le début et ne parviennent pas à admettre...
Et Yunho qui finit par se laisser aller... J'aime.
Là, Anna, tu m'as mis un bon pain dans la figure, et sérieux... Wow.

Merci pour ce beau texte *_*

Anna je t'aiiiiimeeeeeee

Déja primo! Mon couple préféré.
forcément t'as des point
mais en plus tu écris ça si... Si... enfin c'ets si réel quoi. Leurs questionnement, le raisonement sur la société, qui refoule l'homosexualité comme une tare, un fléau ( ce qui est aprfaitement c*n mais bon)
Cest trop superbe. Cette envie, qui grimpe inexorablement, dépassant les limites que la peur a su instauré, au détriment du plaisir personnel, et mutuel qu'ils pourraient ressentir. Ils se mentent, mais ils SAVENT. Il le savent qu'ils s'aiment. Ils savent que l'un, comme l'autre, ils en ont marre de se retenir. De se délecter de simples contacts. Trop infantiles. Qui ne comblent plus leur désir. C'est trop... humain.

Le fait que Yunho abandonne le mensonge, pour rejoindre la vérité de l'amour c'est trop touchant.

Ouais comme dit goldy tout le temps:

"J'aime"
XD

Non sincèrement j'étais aux anges quoi *_* Merci beaucoup beaucouuuuuuup >_< vivement les tes prochains petits textes


PS// ( au fait je lis ton autre fic mais j'arrive pas a commenter XDDD non ya pas de soucis technique mais j'arrive pas a dire ce que jpense XD JJ me perturbe trop dedans ¤_¤ XD)

Wahou ... Mais c'est magnifique comme texte !
Les sentiments, les pensées, l'angoisse de Yunho, sa résistance ... Et l'accord de Jaejoong ... Tout ça ... C'est tellement beau ! Tellement bien écrit !

Je dois avouer que tu m'as légerement tué quand même xD
[ Preuve : j'ai lu quand t'as posté, mais pas réussi à mettre de commentaires u__u Et là, j'en avais écris un ... Que j'ai effacé par maladresse u__u' xD Jsuis tellement ailleurs avec ton texte que je fais plus attention à ce que je fais ^^' ]

Une jolie et véridique morale, une tellement belle façon de voir l'homosexualité, et enfin, comprendre le probleme : le "système" ...
Wahou =)

Juste bravo ... et merci ... et un autre texte comme celui-là bientôt s'il te plait é___è !

Ce début est génial,j'attends avec impatience la suite!!!!
On est vraiment plongés dans l'histoire,on peut vraiment ressentir la tendresse qu'ils se portent!!!!



Bonne continuation

Merci beaucoup! Par contre il n'y aura pas de suite à proprement parler. Ouais en fait il n'y aura pas de suite tout court, ce sont des minifics indépendantes les unes des autres. Donc celle là a un début et une fin, pas de suite prévue.

Mais sûrement d'autres histoires... un de ces jours.

waaaa je suis époustoufflée ! Moi qui ne suis pas friande des shonen ai je dois te dire que le tiens m'a soufflé ! (En plus j'écoute la BO de Hook, et la chanson conveint parfaitement à ton magnifique texte)
TU as une manière d'écrire légère et agréable, poignante et vraie. Le sujet de l'homosexualité a déjà était abordé mais je n'ai jamais lu rien d'aussi beau, la manière que tu as de montrer la souffrance, le mensonge de ce monde et l'amour de deux êtres est vraiment sublime !
bravo en tout cas !

mais euuuuuuuuuuu! en corée les homo onen trouve à la pelle c'est un des pays les plus libres à ce sujet! soit personne ne le sais, soit vous aimé torturer les petits membres des dbsg^^

mis à part ça l'histoire est très bien j'adore^^

C'est peut-être libre mais ils sont chanteurs et c'est pas bien vu dans le monde entier, la discrimination est quand même présente partout ailleurs si elle n'y est pas en Corée. :S

En voilà une toute nouvelle, perso je la trouve nulle mais bon, comme c'est une habitude chez moi, je la poste quand même >.<



Qui n’a pas de secret ? …

« Tu sais où est JaeJoong ? » La voix de Yunho couvrit brièvement le bruit environnant. Micky se tourna vers lui, les sourcils froncés. Il ne lui répondit qu’après quelques secondes de réflexion.
« Oui, il est dans la loge. Il m’a dit qu’il voulait profiter du tournage des scènes de Junsu pour répéter la chorégraphie. »

Une petite tape sur l’épaule lui fut donnée en guise de remerciement et Yunho disparut dans la foule. C’était toujours ainsi lorsqu’ils tournaient un nouveau clip. Le plateau était pourtant grand mais l’équipe nombreuse. Il y avait tant de gens présents, qui s’occupaient tel des protecteurs, de tous les détails techniques, de faire en sorte qu’il n’y ait aucun accident. C’était comme se retrouver coincé au beau milieu de la foule à devoir les suivre à la trace pour pouvoir avancer. En allant à contre courant, on risquait d’être perdu dans cette dangereuse marée.

Il tentait pourtant de se faufiler, rentrant le ventre, se courbant, se dressant parfois sur la pointe des pieds. Les gens n’étaient que des formes, des silhouettes qui avançaient dans un sens, dans un autre ou encore qui restaient immobiles, telles des statues de sel, prêtes à reprendre forme à n’importe quel instant.

Toutes ces ombres, malgré les apparences souvent trompeuses, savaient exactement où elles allaient, avaient un but précis qu’elles feraient tout pour atteindre. Même bousculer les autres. Parce que tout devait bien se passer. Yunho aussi avait son but à atteindre, son secret à rejoindre. Tout en se frayant un chemin, il détailla les gens autour de lui. Ils devaient tous avoir au moins un secret, quelque chose qu’ils gardaient au fond de leurs esprits pour ne le ressortir qu’une fois seuls et en sécurité. Des morceaux de parchemins scellés et soigneusement rangés dans leurs coffres, pour que personne autour ne les découvre. Parce que c’était ça, un secret.

Yunho dépassa la foule pour arriver dans un couloir beaucoup plus calme. L’explosion avait lieu sur le plateau, pourquoi rester là, isolé à attendre que tout se termine ? Il n’y avait que peu de raisons qui poussaient les gens à cela.

La porte s’ouvrit en même temps que le coffre de ses secrets qui s’exposa un instant à la vue du monde et du couloir désert. C’était une action dangereuse, de montrer les choses que l’on voulait, pourtant, ne garder que pour lui. Comme toutes ces ombres que le peuple cachait derrière son dos pour ne jamais le montrer. Mais c’était comme tout, les ombres pouvaient prendre la fuite, se faufiler hors des coffres et se montrer au grand jour. Pour faire disparaître les secrets.

Mais où était la limite dans tout ça ?

JeaJoong se retourna subitement, comme s’il avait entendu ses pensées, comme si elles avaient voyagé jusqu’à son esprit à travers cet étrange lien qui les unissait tous les deux.
« Tu croyais que je n’allais pas te voir ? » Dit-il en désignant le miroir face à lui. Yunho sourit.
« Dommage, j’adore te regarder danser. » Une grimace fut la première réponse qu’il obtint.
« Surtout quand on voit mes talents en danse… comparé à toi. »

Yunho voulut répondre, lui répéter la même phrase qu’il avait toujours envie de lui hurler, mais il se retrouva brutalement plaqué contre la porte qui se referma d’un coup sec. Son qui résonna quelques instants, le temps pour les secrets de retourner à l’abris dans les coffres, au fond de leurs esprits et d’échapper aux regards curieux, suspicieux.

Le silence et le vide de la pièce contrastaient étrangement avec l’effervescence du plateau, c’était encore plus visible ici que dans le couloir. Il n’y avait plus de musique, plus de bousculades, plus de regards dirigés vers lui, plus de but à atteindre. Et il n’y avait plus qu’un seul secret, le leur. Mais toujours autant de limites et toujours la question de savoir lesquelles pouvaient être repoussées. Lesquelles ne pouvaient pas l’être. Qu’est ce qu’ils voulaient dévoiler aux autres ? Quelles ombres allaient pouvoir s’échapper ?

« Tu m’as manqué. » Lui murmura Jae et il ne parlait pas d’un simple contact physique. C’était son amour qui lui avait manqué.
« Toi aussi. » Répondit Yunho en passant deux doigts dans ses cheveux ébènes savamment coiffés.

Leurs langues entrèrent en contact, leurs lèvres se touchant à peine. Ils avaient autant besoin de cela l’un que l’autre. Parce que les gardiens qu’ils étaient devaient détruire les limites, juste de temps en temps, pour ensuite pouvoir les reconstruire avec plus de force, avec moins de difficultés. Leurs bouches dansaient ce ballet pour lequel aucun n’était plus fort que l’autre, un tango endiablé, sensuel et diablement excitant. Une danse que seuls les amants pouvaient pratiquer. Des pas qu’il fallait pourtant éviter d’effectuer en public. Parce que, même s’ils en montraient beaucoup au public, il y avait des éléments qu’il valait mieux cacher. Pour éviter de se retrouver happés par leurs propres ombres.

Tandis que leurs lèvres ne se quittaient pas, leurs mains glissèrent pour se rencontrer, leurs doigts s’entrecroiser puis se dénouer et se retrouver à nouveau. Jae retint un gémissement pour éviter de se faire entendre. On ne savait jamais qui pouvait se trouver derrière la porte, qui pouvait les espionner. Ou même les entendre par inadvertance.

Les secrets et les limites, c’était un grand tout dans leur vie.

Soudain, des coups résonnèrent contre la porte, le gong qui annonçait la fin de la liberté et le retour des ombres. Ils se séparèrent rapidement, s’écartèrent de la porte. Mais leurs mains restèrent liées, comme une promesse qu’ils ne pouvaient pas rompre. Et Junsu pénétra dans la pièce.

« JaeJoong, ils t’attendent, c’est ton… Qu’est ce que vous faites ? » Demanda t-il, un sourcil froncé. Yunho garda une attitude impassible.
« Je l’aidais pour la chorée. » Répondit-il, telle une évidence.
« Pourquoi tu lui tiens la main ? »
« C’était pour lui faire faire le mouvement des bras. » Enchaîna t-il en détachant leurs doigts… lentement. Il fallait rompre le contact et replonger dans le monde à présent.

Un dernier coup d’œil, un hochement de tête et Jae s’élançait à son tour dans la foule.

j'aime encore ^^
ta façon de décrire, de dire toutes ces vérités, c'est si bien !!!
j'aime les scène (bien que courte soit elle) que tu nous écrit, elle sont si touchante, si vrai de sens !!
enfin bref j'aime, et je ne le dirait jamais assez ^^
alors je suis impatiente de lire ta prochaine histoire de ce genre ^__^

Oh.

C'est nul.




Comment ça tu m'as crue? XD
Allez, si tu me crois, t'es folle. Sérieux, ce texte était vraiment génial. J'adore. Tu sais tellement bien faire paraître les atmosphères... Je ne sais pas vraiment quoi dire, tu me coupes le souffle. Jae Joong et Yunho... Incapables de résister l'un à l'autre, et pourtant si désireux de garder leur secret... J'aime cette idée.

J'ai hâte de lire le prochain "Drabble chewing-gum" XD

Allez, juste un mot, comme je le dis bien... (n'est-ce pas Meiko è_é):

J'aime <3

Bon courage *_*

Oh non. Oh non. Oh non.
T'avais pas le droit ... Pas ce soir ... Pas alors que je regardais Star King xD [ Oui, je raconte ma vie ... Et alors xD ]

Voilà. Tu as réussi encore une fois à me faire rentrer dans leur univers (- le tien ?) ...
Toujours ces phrases cruelles ... Enfin ... Moi, elles me font un peu plus mal à chaque fois ... Elles sont tellement vraies ...

Et puis ... Tout est tellement beau ... C'est comme si on sait ce qu'il va se passer avant que ca arrive ... Mais que lorsque ca arrive, hop, ca réussit quand même à nous prendre par surprise [ Certes, je raconte n'importe quoi, et alors ... T'avais cas pas écrire quelque chose d'aussi bien è___é Nan mais oh xD ]

Bref ... J'adore. Tout simplement ... C'est tellement beau, tellement vrai [ et pourtant, ce n'est ... qu'une histoire u__u ] ...
Wahou ... Merci =) de nous (me) faire ressentir tout ca =)

Encore un texte é___è ?! S'il te plait é___è ...
[ Apres les mensonges, et les secrets ... Que va t'il y avoir =) ? ]

J'ai adoréééééééééééééééé !!!!!!!!!!!!!
C'est tout simplement magistral, majestueux, sublime, superbe, magnifque !!!!!!!!!
C'est tellement bien décrit, les pensées, les gestes et tout ce qu'il y a autour !!!!!!!
Et c'est tellement vrai ce que tu dis, vivre dans un monde pareil où même l'amour n'est pas libre de faire ce qu'il veut, je trouve ça dégueulasse *excusez-moi du mot*, je hais les regards des autres et pourtant c'est ce qui conduit notre vie parce qu'on veut leur plaire à eux et pas à nous. Il n'y a que les apparences qui compte sur cette saleté de planète Ce système est à foutre à la poubelle !!!!!

En tout cas merci beaucoup, j'ai hâte de lire une nouvelle minific !!!!!!!

Kissssssss !!!!!!!!

franchement je suis fan (je n'aurai jamais pensé dire ca un jour d'un shonen ai mais bon lol) en tout cas ta manière d'écrire est vraiment unique et belle. je crois que chacun de mes commentaires laissés ne seront qu'une vague répétitions de copliments, toujours semblables !
vraiment j'ai hate de lire le prochain mini one shot que tu nous a concocté !

J'ai adoré *O*
Beaucoup de sensation... j'aime =D

Bonne continuation

je trouve ça vraiment sympa ton ide de travailler plusieurs scènes !
en tout cas j'ai sauvegardé ta fic pour la lire ce soir car je ne suis pas chez toi.
Je posterai, promis^^

j'aime beaucoupp la suite stp

les super junior ne se gènent pas pour se câliner^^ mais bon c'est vrai qu'ils sont moins connu que DBSK^^

en tout cas j'adore tu écris bien et l'histoire est jolie^^

Alors là....je suis sans voix...
J'ai le coeur tout ébranlé et les pensées qui se mêlent ><
La première fic m'a vraiment plu. J'étais complètement plongée dans l'histoire, complètement déconnectée de la réalité...
mais la deuxième. Malgré ce que tu dis, je l'ai encore plus aimé ^^
J'étais littéralement plongée dans la fic, me frayant presque un chemin dans la foule pour y suivre Yunho.
Et à la fin, ma gorge s'est serrée ><
Bref, tu as du talent, vraiment beaucoup de talent !!
C'est absolument magnifique !!
Je me disais que des mini-fics ça serait bof bof, mais au contraire !!
J'ai déjà hâte à la prochaine que tu écriras *0*
Bravo ^^ Je suis fan !!!
Jaeho forever ><

Je viens de lire et découvrir un vrai petit bijoux ^O^, j'adore ta fic.... ca y ai j'ai goûté à mon fruit défendu préféré XD c'est trop tard pour reculer.....

vivement la suite!

Je viens tt juste de lire ta fic, et g pas pu m'empêcher de mettre un com' juste après! TT ca pr te dire ke jadore l'ambiance dans ta fic, ttes les contraintes que tu mets dedans ...^^ bref, j'espère vraiment que tu vas continuer ta fic parce ke j'adooore et jvoudrais pas mârreter en si bon chemin ^^

JAEHOOOOOOOO !!!!!!!! Yeahhhhh ( a fond sur eux lol :p )

voili voilou, bonne continuation pr l'écriture

comme promis je poste !
lol
Alors tout d'abord je me répète mais j'aime l'idée de se concentrer sur une seule et même scène, c'est un exercice que je fais souvent, franchement, c'est bien écrit, sans fautes, c'est très agréable.
Ton chapitre déborde de sentiments. On s'en prend plein la face et ça fait du bien dans ce monde pourri XD
Continue, j'ai hâte de voir la suite, j'aime l'idée que tes "chapitres" se suivent sans se suivre, tu vois ? il y a une continuité d'action mais des milliards de choses peuvent se passer entre. j'aime cette manière, c'est nouveau.

Bonne continuation !
°oOo°

Merci énormément les filles, des commentaires comme ça, ça me fait chaud au coeur et ça me ravie!

Donc en voici un tout nouveau tout frais.

EDIT: Merci à Sunny (= Destiny) pour l'idée parce que je galérais grave! Comme quoi les avatars sont vraiment très utiles parfois! Je t'aime grande sOeur ;)



« Yunho, décalez vous un peu sur la droite s’il vous plaît. » Demanda le photographe d’une voix faussement polie avec un petit sourire sarcastique.

Le jeune homme soupira imperceptiblement et suivit les ordres, comme le petit chien qu’il devait parfois être. Juste pour suivre le modèle, montrer l’exemple et faire plaisir au patron. Les séances photos en étaient le parfait exemple. Il suivait les consignes, en ne se plaignant qu’intérieurement, et ne montrait que ce que le photographe ne voulait qu’il montre. Et il savait bien qui tirait les ficelles de cet homme aussi mince qu’une asperge avec des lunettes trois fois trop grandes pour lui. Le grand patron, celui qui gérait leur image.

L’homme qui faisait de lui, d’eux tous, des pantins.

Yunho se décala donc. Il n’avait pas le choix de toute façon. Jae lui jeta un bref coup d’œil, le temps d’un sourire et de le rassurer avant de tourner la tête et de reprendre la pose. Un infime moment qui ne passait peut-être pas inaperçu mais dont ils avaient besoin. Pour échapper quelques instants aux obligations, à leur simple image et à ce qu’ils étaient censé montrer sur une feuille de papier glacé. La tête baissée pour vite reprendre son masque, Yunho esquissa pourtant lui aussi un sourire.

« C’est parfait ça ! Yunho souriez exactement comme ça ! »

Encore un ordre. Cela lui fit instantanément perdre cette image de bonheur qui était apparue quelques secondes seulement sur son visage. Plus de sourire, plus de joie. Juste encore et toujours la même constatation. Quand serait-il libre ? Les rares fois où il pouvait l’être, où ils l’étaient tous les deux, les fans ne se gênaient pas pour le remarquer. Le commenter. Spéculer. Et voir la véritable relation cachée derrière une soit disant simple amitié. Mais évidemment, le ‘maître’ veillait toujours à ce que tout soit comme il le voulait. Il les séparait, les écartait sur les photos, dans les clips. Puis il les rapprochait uniquement quand cela l’arrangeait. Il jouait avec eux.

« Yunho, je ne sais pas à quoi vous pensiez, mais retrouvez moi ce sourire. C’était parfait. » Lui ordonna le photographe d’un ton un peu trop sec.

‘Ce qui est clair c’est que je pensais pas à toi crétin.’ Songea t-il. Il jeta un bref coup d’œil à Jae. ‘JJ est bien plus passionnant que l’autre abruti. Pourquoi je dois tourner la tête de l’autre côté ?’

Il tourna la tête et tenta de reproduire le même sourire.

« Non, pas comme ça. Et puis décalez vous encore un peu, vous êtes trop près de JaeJoong ! » S’exclama le photographe en se redressant, son appareil en main et son visage de mouche déformé par une grimace insatisfaite. Le genre de moue ridicule affichée par tous les grands créateurs et ceux qui croyaient en être.
« Comment est-ce que je dois me mettre ? » S’impatienta Yunho.

‘Quoi, lui aussi il veut changer notre image, c’est ça ?’ S’énerva t-il en pensée. ‘Qu’il arrête de rêver, il est tout autant un pantin que je le suis.’

C’était l’unique aspect qu’il détestait, comme la face cachée de la Lune. Elle ne ressort jamais excepté pour l’astre et personne ne peut savoir à quel point elle hait cela. Lui n’aimait pas ce manque de liberté, ce masque qu’on lui imposait. Il ne savait pas vraiment pourquoi. Il était évident que sa liaison avec Jae était encore un secret. Si cela n’avait pas été le cas, Dieu seul sait quel masque on lui aurait imposé, à quel point on aurait voulu le faire changer. Et pourtant, malgré cette brèche, ces moments lorsqu’ils étaient tous les deux où ils pouvaient faire ce qu’ils voulaient, ils n’en étaient pas moins des pions. On jouait sur leur amitié, sur une ambiguïté. Sur eux-mêmes.

Une main se posa sur son épaule. Une poigne douce mais ferme. Jae lui fit un nouveau sourire, discret, fin, mais tout de même chaleureux. Son amant le poussa légèrement sur le côté, puis un peu plus près de l’objectif. Yunho profita de ce contact certes léger et éphémère. Mais c’était une main tendue vers lui à travers toutes ces ficelles qui l'enchaînaient. Un peu de douceur. Du changement. Et quelque chose de bien réel, parti d’un sentiment fort.

« Un petit effort Yunho. » Lui dit-il tout bas.

Le jeune homme sourit à Jae. Ce sourire qu’il avait mis tant de temps à retrouver et qui, pourtant, était toujours caché quelque part au fond de lui. Comme la lune qui, malgré sa part d’ombre, brillait sans cesse, nuit après nuit, sans jamais faiblir ne serait-ce qu’un peu. Parce que le soleil était aussi là pour lui apporter son aide, le soutenir pour un court moment. Mais être là pour lui quand même.

Il tourna la tête sur le côté tandis que Jae reprenait sa propre pose, son sourire toujours sur ses lèvres.

« Voilà, c’est parfait ! Gardez la même pensée en tête le temps que je prenne la photo. » Lui dit le photographe après avoir poussé un soupir.

‘Je l’aime.’ Pensa Yunho au moment où le flash fit son apparition, pour tous les éblouir sans qu’ils ne bougent d’un millimètre. Ce n’est que lorsque le flash empli la pièce pour la seconde fois qu’ils se détendirent. Du moins, juste avant de se crisper à nouveau lorsque le photographe recommença ses sarcasmes.

« On en aurait mis du temps pour une seule petite photo. » S’exaspéra Monsieur l’asperge avec une tête de mouche.

‘Va te faire foutre gros con, je vais enfin pouvoir me retrouver un peu seul avec Jae… j’ai repéré un coin tranquille derrière le plateau.’ Songea Yunho en relâchant la pression et en oubliant, enfin, tous ces hommes avec leurs costumes impeccables qui géraient leur image. Pour l’instant, il reprenait sa vie en main. Comme lui et Jae le voulaient.

Ah, j'aime =)
Un bref instant de répit parmi mes fiches de calcul... C'est chouette <3

En tout cas...j'aime (ah m****, ça je l'ai déjà dit XD). Sérieusement, j'apprécie cette manière que tu as de nous plonger dans un océan d'émotion, un océan de brèves joies tellement marquantes... Un sourire derrière un masque impaissible...

Bwarf, j'adore Yunho.

Mais saura-t-on ce que Jae Joong pense de tout cela? =)

Bonne continuation =D

Haaaaaaaan comment c'est trop chou

Ptin l'asperge-man, j'ai envie de le dégager de la scène là. Il tue tout ( en plus je l'imagine * une VRAIE asperge* avec ses binocles XD trop marrant.)

C'est trop mignon comment Yunho ne pense et ne vis qu'à travers les attentions que JaeJoong lui porte. J'ai littéralement envie de buter le photographe trop sarcastique a mon gout ( se prennant pas pour une crotte en plus), de conduire les deux choux au fameux endroit que yunho a vu, afin de les laisser tranquillou quelques instant bref de liberté.
Dure célébrité.
C'est trop mignon comment un regard, une caresse camouflée par un main fraternelle sur l'épaule peut vous faire sourire un être humain. Et c'est écoeurant comment des mots détestables vous retire ce sourire aussi vite...


Enfin vivement la suiiiite >< walaaa j'aiime toujours au cas où tu n'aurais pas compris MDRRR
Beuzouuuuuuux ( viva il boudin... non je blague MDR )